• 18 mai 2024 9h40

Miadé Bé Nou

Traditions, Cultures ancestrales et Actualités du Togo, d'Afrique et du Monde

Être togolais et parler de la mauvaise gouvernance du régime au Togo: mérite la prison, l’exile ou la mort

ByAristo

Mai 4, 2024

Il est crucial de mettre en lumière les événements troublants qui se déroulent au Togo, mettant en évidence les tactiques oppressives du régime RPT/UNIR qui cherche à museler toute opposition politique. Le cas de Dovo Koami Mawuli, également connu sous le nom de Christophe, est un exemple frappant de la répression exercée par ce régime envers ses opposants.

Depuis son adhésion au parti politique ANC en 2019 et son engagement actif aux côtés des candidats aux élections municipales et législatives, Christophe s’est retrouvé dans la ligne de mire des autorités pour avoir osé exprimer ses critiques. Sa lutte contre les inégalités des députés et les violations des lois nationales et de la CEDEAO a suscité des menaces et des actes d’intimidation répétés à son encontre.

DOVO Koami Mawuli et le président de l’ANC Jean-Pierre FABRE

Les récents incidents où sa maison a été ciblée par des violences, les tentatives de kidnapping devant son domicile et la persécution continue dont il est victime démontrent clairement la nature dictatoriale du régime en place. Les actions désespérées des forces coercitives pour le retrouver et l’empêcher de participer à des événements politiques légitimes ne font que souligner leur crainte de toute voix dissidente.

Il est impératif de dénoncer ces agissements répressifs qui visent à étouffer la liberté d’expression et à maintenir un pouvoir autoritaire de manière perpétuelle. La fuite de Christophe du pays pour assurer sa sécurité et la poursuite de son combat à l’échelle internationale mettent en évidence la nécessité d’une solidarité internationale pour soutenir les défenseurs des droits de l’homme et les opposants politiques au Togo.

L’histoire de Christophe illustre la résilience et le courage des individus qui osent s’opposer à l’oppression, malgré les risques encourus. Il est de notre devoir de condamner ces actes répressifs, de faire pression pour des réformes démocratiques et de défendre ceux qui luttent pour la libération du Togo dans un État de droit.

L’affaire récente impliquant DOVO Koami Mawuli, également connu sous le nom de Christophe, met en évidence les tactiques répressives d’un régime répressif qui tente de museler toute voix dissidente. Sa participation active dans la campagne politique, sa dénonciation courageuse des injustices et la menace constante qui pèse sur lui soulignent le climat d’intimidation imposé par le régime en place.

Il est clair que le régime RPT/UNIR au Togo cherche à conserver un pouvoir sans limites, étouffant toute opposition ou critique avec violence et persécution. Les tentatives d’enlèvement, les raids menaçants sur son domicile et les agressions envers ses proches démontrent l’extrême volonté du régime de faire taire toute voix dissidente.

Il est de plus en plus évident que le régime en place utilise des tactiques de dictature pour maintenir son emprise sur le pouvoir, violant ainsi ouvertement les lois internationales et nationales qui garantissent les droits fondamentaux des citoyens. Les incidents récents entourant DOVO Koami Mawuli soulignent l’urgence d’une action internationale pour condamner de telles pratiques autoritaires et soutenir ceux qui osent défendre la démocratie et les droits de l’homme.

Dans un contexte où la liberté d’expression et l’opposition politique sont systématiquement réprimées, la communauté internationale se doit de prendre des mesures fermes pour mettre fin à l’oppression et soutenir ceux qui luttent pour la justice et la démocratie. L’affaire de DOVO Koami Mawuli est un exemple poignant de la résistance courageuse face à l’oppression, mais elle souligne également l’impérieuse nécessité d’une solidarité mondiale en faveur de la liberté et de la justice pour tous.

 La rédaction

By Aristo

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