Sur la route Lomé Vogan Anfoin, les usagers ne sont pas au bout de leurs peines.
La cause ?
La mise en place de dos d’âne et de ralentisseurs sans panneaux de signalisation. Cette situation leur complique la tâche. Ils roulent pour ainsi dire au péril de leur vie, avec à la clé ce qu’on sait tous, des accidents à la pelle. Pour une route longue de 61 kilomètres et très pratiquée, on s’étonne que les autorités des Transports n’y aient point fait mettre des panneaux de signalisation censés signaler un danger imminent, exprimer une obligation aux usagers de la route, ou encore leur fournir un renseignement, une indication ou présenter un itinéraire. Avancer à tâtons est la chose la mieux partagée quand on doit rouler au pays des Gnassingbé.
Le manque de ces panneaux ont déjà envoyé dans l’au-delà bien des vies humaines. Une route à l’image de bien d’autres de la capitale qui brillent non seulement par leur manque de panneaux, mais également par leur manque de lampadaires devant s’allumer le soir.
Les mêmes causes produisant les mêmes effets, on ne peut que constater impuissant ces accidents.
A charge pour les autorités de doter cette voie de ces panneaux. Les usagers n’en seront que plus rassurés.
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